Qui sommes-nous ?

Une communauté de prêtres et diacres

La Communauté Saint-Martin, fondée en 1976, est une communauté de prêtres et de diacres vivant leur ministère en communauté, au service des missions qui leur confient les évêques.

Ayant reçu ses premiers statuts de l’Église, en 1979, elle est une association publique cléricale (c’est-à-dire composée de prêtres et de diacres) de droit pontifical. Dépendant directement du Saint-Siège, à travers le dicastère pour le Clergé, elle incardine ses propres membres.

La mission de la Communauté au service de l’Église

Faire vivre à ses membres le ministère sacerdotal et diaconal selon une forme de vie commune, dans l’élan des recommandations du concile Vatican II (Décret Presbyterorum Ordinis, n°8).

Former des prêtres et diacres, au sein de sa Maison de formation, afin de faire d’eux un « corps mobile de préparé au ministère diocésain ou à toutes autres missions plus particulières confiées par les évêques » (Statuts de la Communauté).

Proposer une formation – initiale et permanente – et un programme de vie pour stimuler la sainteté de ses membres, dans l’exercice de leur ministère et l’union « entre eux et avec l’évêque et son presbytérium».

La Communauté Saint-Martin met ses membres au service des évêques désireux de leur confier des missions apostoliques variées : paroisses, aumôneries de collège et d’internat, sanctuaires, maisons de retraite…

Vie commune et mobilité sont les deux principales caractéristiques de la vie martinienne.

Envoyés au moins par trois, les prêtres et diacres prient, vivent et travaillent ensemble, dans une fraternité spirituelle et pastorale.

Tant à la Maison de formation que dans les lieux de mission, les membres de la Communauté se nourrissent d’une intense vie liturgique, puisée dans les trésors de la tradition de l’Église, notamment le chant grégorien.

La Communauté en bref

Née en Italie, ayant sa Maison-mère et sa Maison de formation en France, à l’abbaye d’Évron, en Mayenne, la Communauté est internationale :

  • Par sa présence dans 5 pays : la France, l’Italie (Rome), Cuba, l’Allemagne et l’Autriche.
  • Par l’origine nationale de ses membres.
50

186 prêtres et 19 diacres

50

séminaristes et propédeutes

30

communautés locales (dans des paroisses, sanctuaires et lieux d’éducation).

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Le discernement - L'heure du choix

À quel âge entrer au séminaire ?

Puis-je rentrer au séminaire directement après le bac ? Puis-je rentrer assez âgé, après une longue expérience professionnelle ?

La question de l’âge pour rentrer au séminaire varie en fonction du parcours de chacun, il n’y a pas d’âge « idéal ». Le premier critère, évidemment, est la volonté de Dieu. Veut-il que je devienne prêtre ? Il n’y a pas à hésiter alors.

Cependant, certaines circonstances objectives doivent être considérées.

Rentrer après le bac ?

Pour des très jeunes qui veulent rentrer au séminaire après le bac : le désir d’être prêtre et de tout quitter pour suivre le Christ est souvent très fort. Vouloir donner sa vie pour les autres n’admet pas de frein humain. Pourquoi attendre si c’est la volonté de Dieu ? Dans ce cas, il est important de discuter de la démarche avec le responsable du séminaire ou avec un directeur spirituel. Parfois, il peut être préférable d’acquérir davantage d’ « épaisseur » humaine, avant de rentrer.

Finir ses études ?

D’autres ont commencé des études avant de penser au sacerdoce. Alors que faire ? Finir les études et obtenir un diplôme donne effectivement une certaine sécurité, pour le cas où l’on ne resterait pas au séminaire. Mais la décision de retarder l’entrée au séminaire demande à être bien discernée, dans la prière et dans l’accompagnement spirituel. Plus qu’une « sécurité », elle est exigeante et risque d’ébranler la décision de devenir prêtre.

Un appel tardif ?

Certains discernent l’appel au sacerdoce de manière plus tardive. Après l’exigence de répondre à l’appel de Dieu, en changeant de vie et de situation, en « renonçant à soi-même », une deuxième exigence apparaît : accepter de suivre une formation au séminaire pendant quelques années, souvent avec des plus jeunes. Il s’agit là de se laisser former à travers la prière, les études, la vie commune. C’est sans doute plus difficile pour une personne ayant déjà vécu en pleine indépendance que pour les plus jeunes.

Les trois cas de figure existent dans le séminaire. Avec la grâce, tout est possible !

Au fond, quelle que soit la situation de laquelle nous venons, la vie au séminaire est tissée, pour chacun, de joie et de peines, de progrès et de difficultés.

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