Privacy policy

Protecting your data

As part of the General Data Protection Regulation plan.

Since May 25, 2018, the General Regulation for Data Protection (RGPD) has come into force. It guarantees European citizens the proper use of their personal data by Third Parties. We assure you of Community Saint-Martin’s commitment in this area.

Your data is used to inform you of the community’s actions, to manage your donations, purchases, subscriptions or event registrations, to improve your experience on our site or to appeal to your generosity, for as long as is strictly necessary to achieve these purposes. The Communauté Saint-Martin protects your data and remains the sole owner.

You also have the right to access, rectify or delete your personal data by contacting the Communauté Saint-Martin – 8, place de la Basilique, B.P.110 – 53600 Evron Cedex.

Privacy policy of the Communauté Saint-Martin

Privacy policy

The Communauté Saint-Martin undertakes to comply, as the data controller, with the provisions of Law no. 78-17 of January 6, 1978 as amended and the General Data Protection Regulation (RGPD – 2016/679) and any other texts that may be added to it.

In the data protection policy below you will find the means we have implemented to achieve this.

1. Fields of application

This policy applies to all processing of personal data carried out by the Communauté Saint-Martin, regardless of the media on which the data has been collected.

2. The data collected

We collect information when you fill in a form: to ask a question, request information, make a donation or subscribe to our magazine. We collect the information you enter: your surname, first name, postal or e-mail address, telephone number, etc. The bank details of your donations are not kept by us, but by our bank, except in the case of direct debits, for which the necessary SEPA mandates are kept by us.

When you browse our website and our social network pages, we also collect technical information about your device (IP address) and browsing statistics.

As part of our online forms, certain additional technical information may be temporarily stored, such as the user’s IP address or information on the browser and system used (so-called “user agent”). This data is collected exclusively to prevent automated or abusive mailings (spam) and to ensure site security.

It is not used for commercial purposes.

3. Purpose of data collection

    All the information we collect from you may be used by our communications department and our donor relations department for various purposes: managing donor relations, issuing tax receipts, sending a newsletter, managing your subscription and registrations for one of our events, managing your orders. We also use your data to send you personalized information, to appeal to your generosity or for statistical purposes, particularly with regard to navigation on our website.

    4. Retention period

      La Communauté Saint-Martin retains your data for the time strictly necessary to achieve the above-mentioned purposes.

      5. Data storage and security

        Communauté Saint-Martin takes all necessary measures to protect the security of the personal data entrusted to it. To this end, it implements the necessary technical and organizational measures to prevent any alteration, loss or unauthorized access to your data.

        Communauté Saint-Martin also works with service providers who act in compliance with the French Data Protection Act and the General Data Protection Regulation (RGPD).

        Personal data is stored in the European Union, in our software or that of our service providers.

        6. Access rights

          In accordance with the French Data Protection Act No. 78-17 of January 16, 1978 and the General Data Protection Regulation 2016/679, you have the right to access, rectify, limit and delete any data concerning you.

          You can send your requests to the Donors Department, which will centralize requests, on 02 43 26 12 00 or by e-mail: donnees.personnelles@csm.fr. By post to Communauté Saint-Martin – Système d’information – 8, place de la Basilique – 53600 Evron – France.

          You can also unsubscribe from any mailings using the unsubscribe links provided.

          7. Consent

            By using our website, you consent to our privacy policy. In the case of other media, references are included in each document to inform you of our use of your personal data and your rights in this respect.

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            Biographie

            Jean-François Guérin

            Jean-François Guérin naquit à Loches au cœur de la Touraine le 25 juillet 1929 d’Albert Guérin et de Camille Linard, charcutiers dans cette ville ; il fut baptisé le 9 mars 1930 dans la collégiale Saint-Ours sous le prénom de Jean. Ses deux parents sont originaires d’Artannes-sur-Indre où il suivit sa première scolarité, dans une famille qui n’était pas particulièrement marquée par la foi.

            Installé chez sa mère à Paris, il s’ouvrit de sa vocation à un prêtre de Versailles. C’est pourquoi, contre l’avis de sa famille, il entra au séminaire de Versailles, en 1949, à vingt ans. Les premières années de sa formation furant vraiment fondatrices pour lui, marquées par la forte spiritualité sacerdotale enseignée par les formateurs sulpiciens. Ces années furent coupées par son temps de service militaire en Tunisie et marquées par le décès de son père. Premier tournant dans son itinéraire : il décida de quitter Versailles pour revenir à Tours, puis il intégra le Séminaire français de Rome et, le 29 juin 1955, il fut ordonné prêtre en la cathédrale Saint-Gatien par Mgr Gaillard.

            D’abord vicaire à la cathédrale de Tours, il fut nommé aumônier des lycées Descartes, Balzac et Grandmont à Tours où sa santé souffre un peu de l’intensité de son engagement auprès des jeunes. Souvent il les emmena à Fontgombault, une abbaye bénédictine qui eut une importance centrale dans sa vie et son sacerdoce : il en devint oblat en 1961. Quittant Tours, il fut envoyé à Paris pour des études de droit canonique, qu’il commença en 1965.  Pendant ces études, il était aussi confesseur à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, où il fut inspiré par les intuitions ecclésiales et missionnaires de Monseigneur Charles, recteur de la Basilique, avec lequel se créa une amitié. Les études terminées, il devint délégué général de l’Œuvre d’Orient en 1968 et garda cette charge, qui consistait à recueillir des fonds pour aider les écoles, dispensaires et œuvres caritatives dans les paroisses de toute la France, jusqu’en 1975.

            À Paris, son ministère se déployait entre l’œuvre d’Orient, la mission de chapelain au Sacré Cœur et un ministère qui se dessina peu à peu auprès d’étudiants, hommes et femmes, qui le rejoignirent bientôt pour une heure d’adoration silencieuse mensuelle, à Montmartre. De ce silence, naquit l’idée d’une messe hebdomadaire en 1968. Elle est célébrée à la chapelle du Bon Secours, rue Notre-Dame-des-Champs, chapelle toute proche des bureaux de l’Œuvre d’Orient. L’abbé Guérin entendait donner à ces jeunes gens une solide formation centrée sur la vie intérieure, la vie sacramentelle, sur le discernement des vocations, mariage, sacerdoce, vie religieuse. Son action apostolique auprès de ce groupe comprendra aussi des camps – un mélange entre retraite et vacances, ce qui donna naissance aux futurs « Routes Saint-Martin ». Mais dans le temps de la réforme liturgique, il leur transmit aussi sa docilité envers les décisions du Concile et du Pape, face à certains qui ne veulent rien entendre sur le nouveau missel promulgué par le Pape Paul VI.

            Proche des moines bénédictins de Fontgombault et des Sœurs Servantes des Pauvres, l’abbé Guérin accompagna des jeunes vers des vocations religieuses, contemplatives et apostoliques. Mais, plusieurs jeunes gens lui partagèrent leur désir de devenir prêtres diocésains. En février 1976, le cardinal Siri, archevêque de Gênes et Dom Jean Roy, Père Abbé de Fontgombault, se rencontrèrent à Rome où ce dernier demanda au cardinal s’il est possible d’accueillir des amis français à Gênes. L’accord fut immédiat : les études au séminaire seraient gratuites et un couvent capucin situé à dix-sept kilomètres du centre-ville serait mis à leur disposition. C’est alors que le 1er novembre 1976, commença la Communauté Saint-Martin par un cours intensif en italien ; suivirent les travaux à entreprendre au couvent de Voltri qui est en très mauvais état. Les années italiennes furent celles de la fondation, avec l’appui constant du cardinal Giuseppe Siri, qui, à sa démission, nomma l’abbé Guérin chanoine d’honneur de sa cathédrale.

            L’année 1993 fut celui du retour en France, pour les membres de la Communauté. Aidé par les premiers membres, l’abbé Guérin guida cette installation à Candé-sur-Beuvron, dans le diocèse de Blois. Ce furent des années plus difficiles, marquées par différents problèmes de santé. L’abbé Guérin fut de plus en plus secondé. En février 2004, il présenta sa démission. Demeuré à Candé, il fut rappelé à Dieu le 21 mai 2005. Après ses obsèques à la cathédrale Saint-Louis de Blois, il fut inhumé au cimetière d’Artannes-sur-Indre, son village natal.

            Le 18 juillet 2024, un communiqué faisant état des conclusions du rapport de la visite pastorale a révélé des faits reprochés par plusieurs anciens membres de la communauté à l’abbé Guérin. Nous entendons avec douleur la souffrance que certains ont pu exprimer auprès des visiteurs et allons effectuer courageusement ce travail de relecture qui permettra de faire évoluer cette page. Afin de recueillir la parole des personnes qui souhaiteraient se manifester, vous pouvez contacter, au nom de Mgr Matthieu Dupont qui a été nommé assistant apostolique de la communauté, la Cellule d’écoute des diocèses des Pays-de-Loire à l’adresse suivante : paroledevictimespaysdeloire@gmail.com

            Biographie

            Don Paul Préaux

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            Don Paul Préaux, né le 6 octobre 1964 à Laval (Mayenne), rentre au séminaire de la Communauté Saint-Martin alors installée à Voltri (diocèse de Gênes, Italie) en 1982. Il est ordonné diacre en avril 1988 à Saint Raphaël (Var) par le cardinal Siri et obtient son baccalauréat de philosophie et de théologie. L’année suivante, le 4 juillet, il est ordonné prêtre à Gênes par le cardinal Canestri.

            En 1990, don Paul obtient une licence canonique de théologie dogmatique à Fribourg (Suisse) et devient responsable de la maison de formation de Voltri. Il est envoyé à Rome en 1992 pour l’année d’habilitation au doctorat et commence ensuite sa thèse.

            Nommé, en 1995, chapelain au sanctuaire de Notre-Dame de Montligeon (Orne), il devient recteur de ce sanctuaire consacré à la prière pour les défunts, charge qu’il occupera jusqu’à son élection comme Modérateur général de la Communauté Saint-Martin. Pendant cette période, don Paul est également membre du conseil presbytéral du diocèse de Sées pendant six ans et secrétaire du même conseil pendant 3 ans.

            Docteur en théologie en 2005, don Paul est l’auteur d’une thèse sur Les fondements ecclésiologiques du Presbytérium selon le concile Vatican II et la théologie post-conciliaire. Enseignant la théologie dogmatique à l’École de théologie de la Communauté, depuis 1993, il intervient également dans différents lieux d’enseignement, comme le Centre d’études théologiques de Caen. Il est également sollicité pour prêcher des retraites et intervenir dans différents diocèses et communautés, notamment des thèmes de la spiritualité sacerdotale et de l’espérance chrétienne, sur lesquels il a publié des ouvrages.  Renvoi à la page de ses publications.

            Le 26 avril 2010, don Paul Préaux est élu Modérateur général de la Communauté Saint-Martin et réélu en 2016 à cette charge pour un nouveau mandat de six ans. Il est à nouveau élu à cette charge en 2022 pour un dernier mandat.